Les lecteurs qui me suivent auront remarqué que j’aime bien utiliser les poisons et les drogues dans mes romans (par exemple dans la Malédiction égyptienne, aux éditions City). Ce fait est d’ailleurs commun à de nombreux auteurs.
La littérature policière regorge d’histoires de meurtres et de mystères, impliquant l’utilisation de poisons pour tuer les victimes. Les poisons sont une méthode de meurtre populaire dans les romans policiers en raison de leur capacité à tuer discrètement et de la difficulté de détecter leur présence.
Il y a de nombreux poisons différents qui ont été utilisés dans la littérature policière au fil des ans, chacun avec ses propres caractéristiques uniques et sa propre histoire fascinante. L’arsenic, par exemple, est un poison très populaire dans les romans policiers en raison de sa capacité à tuer rapidement et discrètement. Bien qu’il puisse être utilisé comme poison dans la vie réelle, il est également utilisé dans de nombreux produits de jardinage et autres produits de consommation courante, ce qui rend sa détection difficile.
Le cyanure est un autre poison populaire dans les romans policiers en raison de sa capacité à tuer rapidement et de sa facilité d’accès. Il est souvent utilisé sous forme de gaz, ce qui le rend facile à inhaler et donc facile à administrer à une victime. Cependant, le cyanure peut également se révéler extrêmement dangereux pour le meurtrier lui-même, en cas de mauvaise manipulation.
Certains poisons ont même donné lieu à des expressions populaires. Ainsi, la Sardonia, est une plante extrêmement toxique originaire de Sardaigne. Son ingestion provoque vomissements, diarrhées et peu déboucher sur la mort du sujet. L’un des signe d’empoisonnement à la Sardonia est un rictus de douleur, figé sur le visage. Un rire… sardonique.
Il y a de nombreux autres poisons qui ont été utilisés dans la littérature policière au fil des ans, tels que le strychnine, le thallium et la digitaline. Chacun de ces poisons a ses propres caractéristiques uniques et continueront longtemps à servir d’arme du crime aux romanciers ainsi, hélas qu’aux véritables meurtriers.