Le Vampire de Montparnasse 1/2

Visuel vampire montparnasse

Voici la première partie du deuxième épisode de cette série nommée : L’écrivain mène l’enquête.

Cette fois, je me suis plongé dans les archives de la presse du XIXe siècle, sous la deuxième République, pour retrouver la trace de celui que les journaux avaient surnommé : le Vampire de Montparnasse.

À partir de l’été 1848, une série de profanations ignobles se produisit au cimetière Montparnasse. Le profanateur paraissait doté de facultés exceptionnelles qui contribuèrent à le faire entrer au panthéon des êtres les plus mystérieux. Il franchissait les plus hauts murs, exerçait une incroyable fascination sur les molosses les plus féroces et semblait même insensible aux balles.

Découvrez son histoire dans ce podcast.

Attention, certaines scènes peuvent être difficiles à supporter.

Les ratés de l’aventure

Je suis actuellement plongé dans la lecture d’un livre qu’un ami m’a offert, récemment : Les ratés de l’aventure (Titaÿna – Ed. Marchialy). C’est un livre écrit, dans les années 1920/1930, par l’une des premières femmes reporters. Une Française : Élisabeth Sauvy qui a parcouru le monde et rapporté des textes extraordinaires.

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J’adore les femmes aventurières et plus particulièrement celles des siècles passés, lorsque l’aventure était l’apanage du sexe dit fort. Ces femmes ont fait mentir tous les stéréotypes. Elles n’avaient probablement ni plus ni moins de courage que leurs homologues masculins – il en fallait beaucoup de toute manière –, pour se lancer ainsi à l’aventure, mais il leur fallait au moins deux fois plus de folie, d’indépendance et de chance.

Bref, vous l’aurez compris, j’adore ce livre qui nous propulse, au moment des années folles, dans les paysages paradisiaques des îles d’Océanie. Alors bien sûr il y a les rencontres avec les populations, les plages paradisiaques, les forêts verdoyantes, les coutumes étranges… sauf que l’aventure, ce n’est pas toujours comme dans les beaux récits romantiques. Il y a parfois des… ratés et des désillusions. Allez, je ne vous en dis pas plus, pour ne pas déflorer l’histoire, mais je vous invite à le lire, il est passionnant.

La malédiction du diamant bleu

Podcast malédiction diamant bleu

Bonjour à toutes et à tous.

Voici le premier épisode d’une série de podcasts consacrée au mystère.
Un tout nouveau format pour moi, qui je l’espère vous plaira. Je vous y parlerai de trésors maudits, de crimes non résolus ou dont la résolution est surprenante, de faits inexpliqués…
Comme mes activités d’écrivain me prennent beaucoup de temps, je ne suis pas sûr d’être régulier dans la publication de ces podcasts. Aussi, pour ne rien manquer, je vous invite à vous abonner.
C’est bien entendu totalement gratuit.

Le diamant Hope, qui se trouve au Smithsonian Institute à Washington est la deuxième œuvre d’art la plus visitée au monde, après la Joconde. Le Hope (qui ne s’appelle pas encore ainsi) est apparu pour la première fois en 1812 à Londres, chez un receleur notoire nommé Daniel Éliason. C’est une pierre extraordinaire qui pèse 45,5 carat, d’un bleu inédit. Du jamais vu ! Comment un tel joyau a-t-il pu passer inaperçu, jusque-là ? Quel inavouable secret cache-t-il ? Au fil du temps et des catastrophes qui se succèdent autour de cette pierre énigmatique, certains vont émettre une théorie glaçante : le diamant serait maudit.

Voici les faits que j’ai découverts en consultant les archives du Smithsonian et de la Bibliothèque Nationale de France.